27 septembre 2007
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qu'une maison d'édition de Marseille soit prête à employer jean-marc Rouillan si ce dernier bénéficiait effectivement d'une semi-liberté !
D'un côté l'absurdité du terme prison à vie employé par la justice ,
de l'autre ces employeurs qui ne doivent pas voir au bout de leur nez les chomeurs qui attendent un emploi !
à moins que le but soit de se faire de l'argent avec un bouquin retraçant la vie d'un terroriste !
D'un côté l'absurdité du terme prison à vie employé par la justice ,
de l'autre ces employeurs qui ne doivent pas voir au bout de leur nez les chomeurs qui attendent un emploi !
à moins que le but soit de se faire de l'argent avec un bouquin retraçant la vie d'un terroriste !
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